Je suis rentré tard du boulot. Ma Lily sautait de joie dans sa cage, comme chaque soir… comme si mon arrivée représentait la plus belle chose au monde. Je l’air amenée dehors, qu’elle fasse son petit pipo. Après, je suis allé préparer son bain tandis qu’elle se ruait gloutonnement sur ses croquettes.
Je l’ai lavée longtemps, affectueusement, qu’elle soit toute belle en ce dernier soir de nous deux. J’ai pleuré en la séchant. Oui, cet homme en début de quarantaine a versé des larmes de tristesse… des larmes de douleurs, d’amertume et de regrets.
J’ai préparé toutes ses petites affaires… sa gamelle, ses biscuits, sa laisse, son panier… j’ai nettoyé sa cage. J’ai tout mis dans des sacs. Sa brosse, son carnet de vaccination. Toute sa petite vie empaquetée, prête pour son départ. Un nouveau départ.
Elle était toute folle ce soir. Hyperactive. Assoiffée de jeux, d’espiègleries. Elle ne se doutait de rien du tout. Je l’ai prise dans mes bras et l’ai apportée moi-même dans l’auto de sa nouvelle famille. Je sais qu’elle serait bien là-bas. Je ne l’aurai pas laissé partir sans ça.
La maison est incroyablement calme.
Vide.
Je viens d’aller fumer une cigarette. Mon regard tombe sur un jouet crasseux abandonné dans la cour. Sa poule qu’elle adorait tant et tellement qu’il lui manque une patte et qu’elle ne fait plus cot-cot depuis une sapré bout de temps… À regarder ce jouet inerte, je mesure davantage l’absence de l’affectueuse petite bête.
Ce soir il pleut et c’est con mais j’ai mal au bonheur.
Je l’ai lavée longtemps, affectueusement, qu’elle soit toute belle en ce dernier soir de nous deux. J’ai pleuré en la séchant. Oui, cet homme en début de quarantaine a versé des larmes de tristesse… des larmes de douleurs, d’amertume et de regrets.
J’ai préparé toutes ses petites affaires… sa gamelle, ses biscuits, sa laisse, son panier… j’ai nettoyé sa cage. J’ai tout mis dans des sacs. Sa brosse, son carnet de vaccination. Toute sa petite vie empaquetée, prête pour son départ. Un nouveau départ.
Elle était toute folle ce soir. Hyperactive. Assoiffée de jeux, d’espiègleries. Elle ne se doutait de rien du tout. Je l’ai prise dans mes bras et l’ai apportée moi-même dans l’auto de sa nouvelle famille. Je sais qu’elle serait bien là-bas. Je ne l’aurai pas laissé partir sans ça.
La maison est incroyablement calme.
Vide.
Je viens d’aller fumer une cigarette. Mon regard tombe sur un jouet crasseux abandonné dans la cour. Sa poule qu’elle adorait tant et tellement qu’il lui manque une patte et qu’elle ne fait plus cot-cot depuis une sapré bout de temps… À regarder ce jouet inerte, je mesure davantage l’absence de l’affectueuse petite bête.
Ce soir il pleut et c’est con mais j’ai mal au bonheur.
3 cyberblabla(s):
Tu sais, se départir d'un petit animal de compagnie, c'est jamais jojo ... garde précieusement son souvenir et quand ça va mal, souviens-toi d'elle et des bons moments vécus ensemble ...
Câlins Yan xxx
Tu as sans doute raison, ma belle, mais pour l'instant je tends plutôt à y penser le moins possible... Plus tard, on verra.
*calin*
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