AFP
Le test du nouvel entonnoir censé contenir l'écoulement du brut pourrait avoir échoué.
REUTERS
Le soulagement aura été de courte durée. Le gouvernement américain a ordonné dimanche 18 juillet à BP de l'informer sur "une fuite détectée" et sur "d'autres anomalies" près du puits à l'origine de la marée noire dans le golfe du Mexique. Les autorités n'exigent pas pour autant pour le moment de BP qu'il enlève l'entonnoir qui empêche le jaillissement du pétrole depuis jeudi.
"Je vous ordonne de me fournir une procédure écrite pour pouvoir ouvrir la vanne d'étranglement aussi vite que possible sans endommager le puits si la fuite d'hydrocarbone à côté du puits est confirmée", a indiqué l'amiral Thad Allen, responsable des opérations de lutte contre la marée noire à Bob Dudley, directeur de BP. L'amiral Allen n'a cependant pas donné de détails sur la "fuite détectée", ni sur les "anomalies".
"Nous voulons éviter tout dégât irréparable qui déboucherait sur une des fuites non contrôlée au fond de l'océan", avait expliqué Thad Allen dimanche.
Après la réparation d'une première fuite, le puits de pétrole à l'origine de la marée noire dans le golfe du Mexique avait été bouché jeudi grâce à la pose d'un nouvel entonnoir de confinement. Dimanche, le groupe pétrolier évoquait pour la première fois la possibilité que le puits reste fermé jusqu'à ce qu'il soit définitivement obturé grâce au creusement de puits de dérivation.
Mais le puits Macondo était encore en phase de test hier, lorsque l'amiral Allen a évoqué l'existence d'une fuite. La possibilité que, emprisonné dans le puits bouché par ce gigantesque entonnoir, le pétrole comprimé ne finisse par créer des brèches et par se répandre à nouveau dans l'océan constitue la principale inquiétude des autorités et des ingénieurs de BP.
La compagnie continue de travailler sur deux puits de dérivation, qui doivent intercepter le puits principal à plusieurs kilomètres sous terre et permettre de le "tuer" définitivement en le bouchant à l'aide de béton. Cette opération extrêmement complexe et délicate est prévue entre fin juillet et la mi-août.
"Je vous ordonne de me fournir une procédure écrite pour pouvoir ouvrir la vanne d'étranglement aussi vite que possible sans endommager le puits si la fuite d'hydrocarbone à côté du puits est confirmée", a indiqué l'amiral Thad Allen, responsable des opérations de lutte contre la marée noire à Bob Dudley, directeur de BP. L'amiral Allen n'a cependant pas donné de détails sur la "fuite détectée", ni sur les "anomalies".
"Nous voulons éviter tout dégât irréparable qui déboucherait sur une des fuites non contrôlée au fond de l'océan", avait expliqué Thad Allen dimanche.
Après la réparation d'une première fuite, le puits de pétrole à l'origine de la marée noire dans le golfe du Mexique avait été bouché jeudi grâce à la pose d'un nouvel entonnoir de confinement. Dimanche, le groupe pétrolier évoquait pour la première fois la possibilité que le puits reste fermé jusqu'à ce qu'il soit définitivement obturé grâce au creusement de puits de dérivation.
Mais le puits Macondo était encore en phase de test hier, lorsque l'amiral Allen a évoqué l'existence d'une fuite. La possibilité que, emprisonné dans le puits bouché par ce gigantesque entonnoir, le pétrole comprimé ne finisse par créer des brèches et par se répandre à nouveau dans l'océan constitue la principale inquiétude des autorités et des ingénieurs de BP.
La compagnie continue de travailler sur deux puits de dérivation, qui doivent intercepter le puits principal à plusieurs kilomètres sous terre et permettre de le "tuer" définitivement en le bouchant à l'aide de béton. Cette opération extrêmement complexe et délicate est prévue entre fin juillet et la mi-août.
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