J'ai fini pas me rendormir vers 3H45, je pense.
Puis je me suis ouvert un oeil... les nombres rouges de ma boîte à bip-bip racontaient joyeusement 7H45.
Mon téléphone a sonné.
"Papa?"
— Mblhun?
"J'ai pas ma carte".
Dans mon crâne ont résonés tout un ensemble de rouages en manque cruel de WD-40.
— Ta carte?
"Ma carte de métro".
— Merde! On est le premier!
Je réfléchis... j'ai un grand total de 15 dollars sur moi et une poignée de change. On est loin du $35 requis.
— T'es où?
"Chez XXXXXX"
— J'arrive.
Je pose le téléphone, enfile mon jeans d'hier, mets le t-shirt constituant le haut de mon pyjama, puis je prends ma veste de cuir, me coiffe d'une casquette hideuse (j'en porte jamais mais pas le temps de me peigner) et je fonce dehors pieds nus dans mes runnings pas attachés.
Heureusement, XXXXXX habite près du métro. Mane m'attends déjà dehors et, dans un coup de pot inhabituel, il reste une place de parking à cet endroit. Mane et moi nous rendons à la station tandis qu'il me raconte sa soirée d'Halloween.
Guichet, Elizabeth II m'est remise en double, je file les 40 bidous à mon fils, l'embrasse et lui recommande de s'acheter des peanuts avec le change.
8H05 je suis de retour chez moi.
Je pense que là, le café est prêt.
“Two possibilities exist: either we are alone in the Universe or we are not. Both are equally terrifying.”
― Arthur C. Clarke
― Arthur C. Clarke
20071101
Brutal
Commis par Cyberyan à 08 h 11
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LA DETTE DU QUÉBEC

4 cyberblabla(s):
Faut croire que c'était pas la bonne journée (nuit) pour le sommeil... Tôt ce matin, je somnolais dans un demi-sommeil, bien décidée à ne pas me lever de si bonne heure même si je n'arrivais pas vraiment à me rendormir. C'est là que Calypso choisit d'embarquer sur le lit. Dans son génie habituel, elle ne fait gaffe à rien et atterrit littéralement sur Bastet qui était déjà couchée avec moi, la tête bien accoté sur mon mollet, ronronnante. Surprise, Bastet réagit instantanément, faisant une démonstration de son fulgurant caractère. En une fraction de seconde, il y a un tourbillon de poil et de feulement à la hauteur de mes genoux sur le lit. Alex s'éveille en sursaut, mais tout est déjà fini. Terrorrifiée, Calypso s'est enfuie. Alex rouspète pendant que je flatte Bastet pour la calmer et la réconforter (pauvre vieille). Je me recouche, Bastet aussi. Environ 5 minutes plus tard, ça recommence! Encore Calypso! Cette fois, je crois qu'elle a essayé de bondir ailleurs que sur Bastet, mais ma vieille a décidé que ç'en était fini de la présence de Calypso sur le lit, aussi elle a attaqué immédiatement. Nouvelle protestation d'Alex, et pour moi c'est fini. Je ne dors plus... Je me lève, gronde Calypso pour sa bêtise, et m'installe tranquille dans le salon, jusqu'à ce que Saturne vienne me harceler parce qu'il a fait et veut déjeuner...
Je ne veux plus de chats!!! ;oP
...parce qu'il a FAIM, je veux dire. Oups! Faut croire que le manque de sommeil affecte ma concentration. C'est sûrement pas ma seule faute d'orthographe aujourd'hui!
Je vois ça... :oP
Comme "terrorrifiée" par exemple ;o) Si le mot existait, il ne s'écrirait probablement qu'avec un seul "r" après le "o".
Donc, AM, tu nous mixes "terrifiée" et "térrorisée" et tu fais une faute d'orthographe dans un mot qui n'existe pas. Mou'arf! ;o)
En fait, terrorifié (avec juste un R si ça peut te faire plaisir! ;)) est un terme Victoriavillois qui s'emploie sarcastiquement pour mettre l'emphase sur la combinaison de terreur et d'horreur qu'un être X a injustement ressenti à un moment X. Comme quoi en plus d'en ramener un mari, j'ai ramené de Victo des expressions diverses et souvent erronées! ;)
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