Yé.

Difficile de croire que je n'ai pas mis les pieds ici depuis le 16 décembre! En fait, je n'ai pour ainsi dire pas vraiment approché mon ordi ces derniers temps. Et quand je le faisais, ça n'était pas pour aller sur le net ou lire des courriels.

J'ai eu un petit moment de vague à l'âme, je l'avoue. En voyant Noël approcher, j'ai réalisé que je ne me trouverais pas de boulot avant la nouvelle année. Qui embauche durant les Fêtes? Ça m'a fichu un p'tit coup d'cafard et du coup, j'ai fuis mon clavier.

Mais je n'ai pas l'intention de laisser aller mon blog. Ni de cesser mes visites sur ceux que j'aime. Je pense qu'il va simplement falloir laisser passer le tumulte des Fêtes pour pouvoir reprendre un rythme de vie plus normal.

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Parlant de tumulte, la semaine dernière ma copine et moi sommes allés compléter quelques emplettes de Noel. Nous n'avions pas besoin de grand chose. Après une rapide visite au Canadian Tire de Lasalle, nous sommes passés au Carrefour Angrignon. Pour ceux qui ne connaissent pas, je vous résume: le Canadian Tire et le Carrefour Angrignon sont séparés par le boulevard Angrignon. Vous quittez le stationnement du Canadian tirelire, vous traversez le boulevard au feu de circulation et vous entrez dans le parking du Carrefour.

Voilà. C'est tout.

Devinez combien de temps nous avons mis à parcourir ce trajet? Allez, allez! Dites un chiffre!

Du Canadian Tire au stationnement du Carrefour, ça a pris environ trente secondes. Mais une fois entrés dans le stationnement, nous avons mis plus d'une heure (yep! une heure) pour atteindre une place libre et y laisser la bagnole.

N'allez surtout pas croire que nous sommes maniaques de magasinage à ce point. Nous nous sommes littéralement retrouvés coincés dans un bordel inimaginable. Du jamais vu en ce qui me concerne! Cette heure, j'en ai passé la majorité arrêté, transmission à PARK et moteur éteint. Rien ne bougeait! Les gens sortis de leurs voitures s'engueulaient, agitaient les poings, coupaient (quand ils le pouvaient) des files de trafic, n'avançant que de quelques centimètres, juste assez pour empirer le problème.

Chaqun cherchait à fuire; personne n'y parvenait. Quand j'apercevais des places de parking libres, elles étaient inatteignables. Je me suis résolu à parker mon auto dans le premier trou que j'ai trouvé, une heure plus tard. Pas par envie de magasiner mais simplement parce que la sortie du parking était beaucoup plus loin derrière des douzaines et des douzaines de véhicules à l'arrêt.

C'est dit, l'an prochain j'achète les cadeaux de Noël en juin!