Ça me fait le même effet, toujours.
Une journée qui commence bien... une nouvelle qui tombe sur mon moral comme une sentence... et tout d'un coup je me sens plus vieux, plus seul, plus vide.
On est quoi? On est ce qu'on sait. On est ce qu'on fait. Mais on est aussi ce qu'on aime. Et lorsque des choses qu'on aime s'estompent et disparaissent, un peu de nous disparaît en même temps.
Moi, grand fan de bédé depuis toujours, j'ai senti des bouts de mon âme m'être arrachés lorsque s'en sont allés les Gosciny, Franquin, Morris, Reiser... Moi qui voue un culte à San-Antonio, je ne vous raconte pas le temps qu'il m'a fallu pour me remettre du départ de Frédérick Dard.
C'est chaque fois pareil.
Richard Wright est parti, maintenant. Il s'en est allé de l'autre côté du mur, du côté obscur de la lune. Je me demande s'il reste encore beaucoup de moi.
Rick, I wish you were here.
2 cyberblabla(s):
Mouais ... un coup dur quand même ... :(
Us and Them.....Bon voyage...to the dark side of the Moon
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