C'est hier, au cours d'un aller-retour à Trois-Rivières, que cette assurance s'est imposée à moi. Il nous faut une commission d'enquête sur les cônes oranges (et, tant qu'à y être, sur toutes les pancartes, barrières, etc, qui vont avec)
SUS AU ORANGE !
Comme près de la moitié de mon périple s'est fait à basse vitesse entre deux rangées de ces maudits cônes, j'ai eu le temps d'y réfléchir et de faire le tour de la question. Pour commencer, je me suis dit que la business du cône orange devait être payante en tabarnack au Québec, à la quantité qu'on retrouve sur nos routes.
Combien ça coûte, un cône orange?
Combien ça se vend?
Qui les fabrique?
Qui les achète?
À quel rythme doit-on les remplacer?
Je soupçonne la grosse arnaque, mes drôles. Entre vous et moi, combien de fois par semaine sacrons-nous en passant au travers d'une "zone orange" où y'a pas un ostie de chrétien qui travaille?!? Tous ces cônes, toutes ces pancartes, tous ces tréteaux orangés, qui s'en met plein les poches à les fabriquer et les vendre?
Une commission d'enquête nous révèlerait peut-être que c'est un bon petit libéral… peut-être même un grand chum à Jean le Frisé !
3 cyberblabla(s):
Tu peux en trouver chez Dollorama j'pense ! HAHAHAHHAHAH :)
À la quantité de cônes sur nos routes, j'espère au moins qu'ils ne sont pas faits en Chine.
Chez Dollarama, la seule chose qui n'est pas "made in China" c'est l'argent dans les tiroirs-caisses.
:oP
Nenon c'est de l'argent de Monopoly ! hahahhahaha !
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