“Two possibilities exist: either we are alone in the Universe or we are not. Both are equally terrifying.”

― Arthur C. Clarke

20081106

Laissez vos graffitis au vestiaire

Conscient que mon silence prolongé peut vous laisser perplexe, je crée le présent billet au cas où vous auriez envie de me laisser un mot ou un commentaire.

J'ai toujours bon espoir de réactiver ma page sous peu. J'ai pas encore décidé si je donnerais des explications sur cette période de silence.

Yan

7 cyberblabla(s):

NONE a dit...

Bah j'imagine que le virtuel s'estompe et que le réel prend plus de place. L'achat d'une maison et tout, ça occupe son homme un moment donné. Si c'est encore le cas, je sais pas.

J'fais des spéculations. Mais comme je suis pas du genre à insister plus qui faut, j't'ai ouvert la porte comme tu l'as si souvent fait pour moi dans l'temps (ça semble si loin ...) - libre à toi de m'jaser ça si ça te l'dis :) J'ai jamais tordu l'bras à personne et c'est pas aujourd'hui que ça va commencer :)

N'empêche que j'm'ennuie de toi pareil Yan !!!

Bisous xox

Anonyme a dit...

Ah oui, tu es absent? J'avais même pas r'marqué, pfff! ;P

J'aimerais bien une explication... à pourquoi ce billet crée un "incoming link" sur le dashboard de mes statistiques de blogue ?!

Anonyme a dit...

Bonne chance Yan...

AM (Yamp) a dit...

Tu nous donneras bien des nouvelles quand tu le voudras, et si tu le veux! ;)

Unknown a dit...

Bon tu es encore là, c'est déjà ça :D
A très bientôt Yan :)

Valou a dit...

Lorsque je lis un blogue, je m'attache à l'auteur(e) et s'il y a une longue période silencieuse, je m'inquiète, je me demande si tout va bien pour cette personne.

Si tu veux nous parler de la raison de ton silence, tu trouveras ici des yeux attentifs mais si tu préfères ne pas en discuter, je crois que tout le monde respectera ton choix.

Il faut que je te dise quelque chose par contre : je m'ennuie en maudit de toi et de tes écrits !

@ bientôt j'espère

xox

Vance a dit...

Tout a été dit. Ta vie a peut-être changé de sens, peut-être est-elle devenue trop intense, ou peut-être en es-tu fatigué. Qui sait ? Ce qui compte, c'est que tu ne nous oublies pas. Et nous, bien entendu, nous te restons fidèles.

LA DETTE DU QUÉBEC